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Accoutumance, dépendance ou addiction ?

 

L’accoutumance, que l’on affecte parfois sous le terme de tolérance, est un mécanisme qui permet à l’organisme de s’accoutumer à un stimulus extérieur. Elle a comme effet négatif le besoin éventuel d’accroître le stimulus (par exemple le surdosage d’un médicament) pour obtenir le même résultat que celui d’origine.

Accoutumance, dépendance ou addiction ?

La dépendance est, quant à elle, un dérèglement de l’activité neurobiologique à la suite d’une consommation périodique d’une substance psychoactive. Ce dysfonctionnement a pour conséquence une envie, un besoin de consommer continuellement la substance psychoactive, pour ne pas subir les effets contraignant résultant à l’arrêt de sa prise. Il s’agit donc dans le cas de la dépendance de retrouver un “état normal”, et non plus de se sentir mieux. On mélange couramment dépendance et addiction. Or ils définissent des comportements différents face à la prise de substances psychoactives ou face à une activité.

L’addiction est un anglicisme utilisé la plus part du temps à la place de dépendance, à tort… L’addiction désigne un déséquilibre chronique du comportement qui s’appui sur une envie incontrôlable de faire une chose, alors même qu’elle est démontrée comme nocive pour l’individu. Elle défini donc l’inaptitude pour l’individu de s’abstenir de consommer la substance, bien qu’ayant conscience des effets négatifs qui s’ensuivront. Elle est avant tout attachée à la vulnérabilité de l’individu devant des signaux de plaisir communiqué par les neurotransmetteurs dans son cerveau. 

L’addiction s’exprime par des comportements compulsifs incontrôlés et involontaires, qui peuvent concerner certains produits, tels que l’alcool, la drogue, le tabac… mais aussi des activités telles que le jeu, l’exercice physique, le sexe ou le shopping.

Les addictions comportementales comme le jeu pathologique, les réseaux sociaux… font appel aux même stimuli que la prise de substances psychoactive sur le cerveau. Le plaisir et le soulagement éprouvés face à la pratique de l’activité responsable de l’addiction sont les mêmes que lors de la consommation de substances psychoactives. Au moment où une personne n’arrive pas à se contrôler face à une pratique ou une activité et souffre en l’absence de celle-ci, on est bien dans un cas d’addiction. On parle donc de dépendance lorsqu’on souffre du syndrome de sevrage à l’arrêt soudain de la consommation. Alors que l’addiction est la consommation excessive d’une substance, en dépit des conséquences nocives.

Le processus de l’addiction

Tout le monde ne devient pas “accro” du jour au lendemain. Les individus victimes augmentent progressivement la fréquence et la qualité de leur consommation. L’addiction est un processus plus ou moins rapide, dépendant des pratiques addictives et des personnes concernées.

Les usages dit "récréatifs"

Ils s’agit de consommations ponctuelles, souvent festives et à des doses restreintes : un verre d’alcool pendant le repas, une cigarette avec un café, une prise de drogue occasionnelle lors d’une soirée…Bien que n’entraînât pas systématiquement vers l’addiction, ces comportements ne sont cependant pas sans risques : sécurité routière, comportements sociaux à risques, violence, accident de santé…

Les usages excessifs

Ils sont définis par les consommations fréquentes d’une quantité excessive d’alcool, de tabac ou de drogues. Ces usages engendrent des transformations au niveau du système cérébrale qui, imprégné par ces substances, devra récupérer un équilibre pour fonctionner normalement. Une sensation désagréable et anxiogène appelée “le manque” se fait alors sentir de façon plus ou moins forte selon la substance consommée. Pour recouvrer son état normal, l’individu se devra de reconduire sa consommation. Ces comportements impactent la santé physique et mentale de la personne entraînant des dommages au foie, aux poumons… anxiété, dépression, risque suicidaire…

Les usages pathologiques

Ils se caractérisent quant à eux par l’impuissance de l’individu à faire face à son envie de consommation, bien qu’il soit conscient des impacts désastreux qu’elle aura sur lui et son environnement professionnel ainsi que personnel. Les personnes “accros” sont plus vulnérables aux “message” de bien être transmis par la substance à leur cerveau. Ils ne contrôlent plus leur comportement face au produit ou à l’activité à laquelle ils sont “addicts”, la zone de leur cerveau en charge du libre arbitre étant terriblement affectée. Maladies, excision, paupérisation et, dans le pire des cas, la mort prématurée, font partie des menaces qui pèsent sur les victimes de cette addiction pathologique.

  • Lire la suite : Quel est le rôle du cerveau dans l’addiction ?
Olivier

Olivier

Fervent défenseur de la vape, j'ai créé Vapote Market pour aider un maximum de fumeur à sortir du tabagisme avec des produits de qualité à prix abordable.

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